Un exemple typique de l’endroit où les algorithmes de NIRA peuvent être utilisés est lors de la présence d’une flaque d’huile se trouvant sur une route sinueuse. Ce phénomène est souvent à peine perceptible pour les automobilistes, mais est un piège mortel potentiel pour les motocyclistes, même à faible vitesse. Si l’estimation de friction de la route calculée avec les algorithmes de NIRA est communiquée directement à la voiture ou via l’infrastructure, les véhicules qui approchent pourrait recevoir un avertissement avant qu’il ne soit trop tard.[youtube url= »http://youtu.be/yZ9KijwlQSM?list=UUC5Wion0lpf8G400FezogYA » fs= »1″ rel= »0″ showinfo= »0″]Enfin, le véhicule autonome ne sera guère imaginable sans estimation des frictions de la route. Reconnaître d’autres véhicules, les piétons et les obstacles ne sera pas suffisant pour assurer la sécurité des passagers sur un tel véhicule. La voiture autonome devra également être en mesure de surveiller l’état de la route et de prendre les bonnes décisions en fonction.
NIRA est maintenant à la recherche d’applications et de partenaires du secteur automobile pour amener les nouveaux algorithmes sur la route.
Source : NIRA
[titled_box title= »L’avis de Romain : »]Comme indiqué dans cette brève, un système de conduite autonome qui ne tient pas compte de l’état de la route pourrait être dangereux quand il neige ou pleut. Pensez-vous que les tests actuels effectués par Google et les constructeurs automobiles prennent en compte ce fait ?[/titled_box]